Un nouveau rapport publié dans le British Medical Journal a constaté que les médicaments antipsychotiques dangereux sont responsables de la mort d'au moins 1.800 patients atteints de démence par an,
Dawson ne sait pas cela ? J’ai estimé que Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa et c’est seulement un des médicaments antipsychotiques
Si la fusillade de Newtown a relancé le débat sur les armes à feu, elle a aussi soulevé le problème des antipsychotiques. Le meurtrier, Adam Lanza, était sous Fanapt, un médicament controversé aux effets secondaires particulièrement lourds : agressivité, paranoïa, délire ou encore crises de panique....
En effet, le Fanapt, drogue acceptée par la Food and Drug administration (FDA) depuis 2009 était très controversée bien avant le drame de Sandy Hook. Au-delà des effets secondaires de type cardiaque, les effets indésirables signalés avec le médicament du jeune Adam étaient l’agitation et l’agressivité. Les accès maniaques ou de paranoïa avaient été rapportés ainsi que des désordres compulsifs, des impulsions incontrôlables et des dépressions profondes
Les neuroleptiques peuvent être une cause de violence en raison de la perturbation des neurotransmetteurs. La violence doit être considérée non seulement comme une indication de la façon dont profondément la schizophrénie / troubles bipolaires peut s'aggraver, mais comme un effet indésirable du traitement neuroleptique. Les gens qui sont métaboliseurs inefficaces sont susceptibles de subir des effets indésirables plus graves et devenir violent ou agressif. (Les neuroleptiques sont métabolisés par les enzymes du CYP450 1A2 egCYP450, 2D6 et 2C19. Un seul neuroleptique peut nécessiter une combinaison des enzymes du CYP450 pour métabolisation.
Depuis lors, l’espérance de vie des personnes traitées dans la communauté des centres de santé mentale a plongé à un effroyable 25 ans inférieure à la moyenne. L’espérance de vie a chuté de pas moins de 15 ans depuis 1986. Les indications sont que le taux de mortalité continue de s’accélérer dans ce qui doit être classé comme l’un des pires désastres sanitaires dans l’histoire américaine.
"Ex membre de la FDA Dr David Graham, qui a sonné l'alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées".
les patients à qui l’on a prescrit les nouveaux antipsychotiques sont en train de mourir à cause de la drogue d’insuffisance cardiaque, accident vasculaire cérébral, et d’autres maladies physiques chroniques invalidantes, telles que le diabète.
Une forte consommation de neuroleptiques de première génération multiplie par 1,99 le risque de mort subite et ceux de seconde génération par 2,26. Et le risque est d’autant plus élevé que la posologie est élevée. Mais cette influence des neuroleptiques s’efface à l’arrêt du traitement.
Les taux de suicide à vie dans la schizophrénie traitée: 1875-1924 et 1994-1998 cohortes par rapport , par D. Healy, M. Harris, R. Tranter, P. éviscération, R. Austin, G. Jones-Edwards et Roberts AP, British Journal de psychiatrie, (2006), 188, 223 -228.
Cette étude a révélé une augmentation de 20 fois du taux de suicide chez les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie depuis l'introduction des neuroleptiques. Cette étude documente la façon dont le taux de suicide est passé de un demi de un pour cent avant l'avènement des neuroleptiques (et la désinstitutionnalisation) à quatre pour cent de l'ère moderne où les neuroleptiques sont le traitement standard.
“Le Dr David Healy, psychopharmacologiste, expert internationalement reconnu, a fait remarquer que le taux de suicide, de mort et de tentatives de suicide liées au Zyprexa ayant eu lieu pendant les essais cliniques de pré-commercialisation a été “le plus élevé que tout autres médicaments psychotropes dans l’histoire”
Dix-sept enfants canadiens sont morts alors qu’ils prenaient certains médicaments antipsychotiques de deuxième génération, et 73 autres ont eu des problèmes cardiométaboliques. Santé Canada confirme ces chiffres, mais ne fait aucune recommandation particulière, si ce n’est de rappeler aux médecins d’utiliser leur bon jugement.
Six médicaments de deuxième génération sont en cause: clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine, aripiprazole et paliperidone. Du nombre, seul Abilify (aripiprazole) est approuvé chez les jeunes de moins de 18 ans pour le traitement de la schizophrénie ou du trouble bipolaire
Neuroleptiques: Traitement ou torture ?
Lorsque médecins psychiatres dans les démocraties occidentales utilisent des neuroleptiques sur leurs propres patients, ils prétendent qu'il s'agit d'un traitement relativement sûr, nécessaire et efficace. Toutefois, lorsque les mêmes traditionnels professionnels de la psychiatrie observée psychiatres soviétiques en utilisant les mêmes médicaments sur les personnes atteintes de schizophrénie au cours des dernières décennies de l'ère communiste, ils ont proclamé haut et fort que les médicaments étaient utilisés comme une forme de punition et de la torture. Ce fut malgré les preuves que les psychiatres soviétiques abordé le concept de maladie mentale de façon presque identiques à ceux des psychiatres occidentaux.
Neuroleptiques → Perturbation de l'équilibre dopamine acétylcholine → augmentation de l'acétylcholine relative → Agression / violence.
mon pére est décédé a l'age de 83 ans il ya 18 mois a l'hopital . il a été hospitalisé aux urgences pour des problémes cardiaques, c'était la premiére fois de sa vie qu'il était hospitalisé, il était trés anxieux de se retrouver la. les 2 premiers jours ils ont stabilisés ses problemes cardiaques et n'était plus en danger, par contre les infirmiéres se pleignait de lui la nuit car il était un peu agité , il voulait rentrer chez lui prés de ma mére.au 2éme jour le docteur était confiant et nous a affirmer qu'il serait transferer sur place en gériatrie le lendemain, mon pére nous a parler prés de deux heures avec lucidité, il nous a paru en forme. le lendemain je recois un appel de l'hopital, on me dit que mon pére allait etre transferer immédiatement dans un autre hopital a 30km et que c'était une personne vraimment trés agée. a ce momment étant a proximité j'accours a son chevet avant son transfert , il était attaché a son lit et il avait une perfusion de LARGACTIL, une infirmiére qui avait une larme a l'oeil est venu le détaché,toute ma famille est accouru on a constaté avant son transfert qu'il avait la langue retourné en arriére, le visage paralysé et de grosse difficulté a parlé, et des mouvements anormaux. il est décédé 8 jours plus tard dans ce méme état, et on ne nous a jamais dit pourquoi on lui avait administré un neuroleptique et apparemment a forte dose. pensez vous qu'il est normal de donner ce genre de traitement a une personne agée anxieuse qui soit était un peu agité mais qui n'avait aucun antécédent psychatrique?
ELLE AVAIT 21 ANS , 16 février 2010 ma fille a accepte d’être hospitalisée pour se soigner d’une dépression sévère majeure. Au bout d’un mois et demi après s’être vue "gavée" de différents anti dépresseurs, anxyolitiques , régulateurs d’humeur , somnifères mais sans psychothérapie (le psy dit qu’elle n’est pas là pour ça et qu’elle la fera en sortant) elle va mieux (randonnées sportives avec sa mère lors de ses sorties thérapeutiques, projets de reprise des études) mais a de grosses crises d’angoisse, le psy de la clinique lui donne du risperdal en comprimé puis en injectable retard en prévision de sa sortie. Dès la 1ère injection ma fille se ferme, elle ne parle presque plus, a du mal à marcher et garder son équilibre, a des bouffées d’angoisse, pleure. La famille prévient le psy qui répond qu’il est en phase d’expérimentation pour le dosage des injections et que ma fille doit s’adapter au traitement et que ça ira mieux après la 2ème injection. A la 2ème injection ma fille ne parle plus, reste prostrée, marche difficilement, pleure sans cesse, a peur, est épuisée mais souffre d’akathisie (besoin irréfreiné de bouger, marcher, incapacité à stabiliser sa pensée)....Ma fille ne voulait pas prendre de médicaments, elle disait qu’elle avait peur de ne plus être elle même avec des antidépresseurs, elle a accepté cette hospitalisation sous la pression de toute la famille, pour la 1ère fois elle acceptait des MEDICAMENTS POUR SE SOIGNER et c’est CE QUI L’A TUEE
A l’exception possible de la chimiothérapie utilisée dans le traitement du cancer, il serait difficile d’identifier une classe de médicaments aussi toxiques que les antipsychotiques. Si l’on considère les effets des antagonistes de la dopamine sur le système nerveux central ou à l’extérieur, leur nocivité prouvée est une tragédie iatrogène trop souvent minimisé ou refusé. (page 214)