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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 01:50
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 01:49
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 01:48
ON DROGUE, ON TORTURE ET ON TUE LES VIEUX : STOP A LA TORTURE AVEC DES MEDICAMENTS / STOP MED TORTURE !
Pour notre mère elle a été tué par plusieurs médicaments successifs: le Cymbalta pour soit disant une dépression mais en fait c’est suite à un conflit à la maison de retraite (notre mère n’avait pas eu de douche depuis deux mois). Elle a fait de nombreuses chutes jusqu’à la fracture du col puis à l’hôpital elle a eu une prothèse de hanche et du Zamudol (ou tramadol) pour un mois puis encore un mois alors qu’elle n’avait pas de douleur. Ce médicament a provoqué une somnolence, un globe vésicale et une insuffisance rénale et des vertiges telles qu’elle a eu une fin de vie de vie abominable. Le médecin pensait qu’elle avait mal (malgré que je lui disait que non elle avait des vertiges) et il a donné des opiacés et encore du Laroxyl. Elle est morte de troubles respiratoire et de fausses routes tant elle était droguée.
Scandaleux. Elle a eu aussi un traitement pour une maladie de Parkinson qu’elle n’avait pas et qui a été arrêté suite à notre demande de consultation d’un neurologue un an auparavant. Bref le carnage.
En espérant être lue.
 

Je soutiens STOP MED TORTURE / SMT

Torturées par leurs médecins, avec des médicaments, des millions de personnes, chaque année, en meurent, sont handicapées ou sont poussées au suicide par d'atroces souffrances. Témoignons, manifestons et disons : STOP A LA TORTURE AVEC DES MEDICAMENTS !!!

EHPAD ou UHR : un univers concentrationnaire, des prisons pour personnes âgées. Alzheimer : diagnostic inventé pour les droguer à mort
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 01:46
 
Le négationnisme de l'association de médecins morphé ( SOCIETE FRANCAISE DE RECHERCHE ET MEDECINE DU SOMMEIL : A FUIR ! !)
"Aucun medecin n'en doute la existence d'un syndrome de sevrage des benzodiazépines qui a été démontre à répétition dans les études. Mais tous les symptômes décrit par les patients dans les  vidéos ne sont pas compatibles avec un simple syndrome de sevrage et d'autres pathologies sont à suspecter.
Si vous avez du mal à arrêter vos benzodiazépines il ne faut pas penser que tous vos symptômes sont forcement en relation avec les benzodiazépines. J'encourage tout patient avec des symptômes handicapants durant un sevrage médicamenteux de faire un bilan médical et psychiatrique complet afin de ne pas passer à coté d'une autre pathologie."
 
Beaucoup de ceux qui se retirent subissent des souffrances inimaginables et certains sont laissés en permanence endommagés par le cerveau (voir les récits personnels dans ce document). Ces dommages au cerveau ne seront pas diagnostiqués comme attribuables aux médicaments. Au lieu de cela, les patients souffrant de handicaps graves sont informés que leurs symptômes sont attribuables à la «dépression» ou à «l'anxiété» ou à un autre problème de santé mentale.
 
En France les syndromes prolongés de sevrage étant niés par les médecins, par facilité, quelque fois sur ordre, de rares fois par ignorance, dans le but de continuer a empoisonner un maximum de victimes, ils identifient les symptômes de sevrage aux psychotropes non pas comme tel mais comme une autre maladie : dépression, fibromyalgie, syndrome des jambes sans repos, syndrome de fatigue chronique, phobie sociale, bipolarité,et autres maladies psychiatriques divers afin de vous empoisonner avec : ... d'autres drogues psychiatriques (souvent encore pire que les premières) !!
 
avec la schizophrénie, la dépression et d'autres maladies psychiatriques. Ils sont souvent fortement médicamenter avec antipsychotiques, antidépresseurs, ou replacés sur leur benzo. Certains médecins incultes prescrivent Lyrica et Neurontin pour l'anxiété pendant le retrait. Ces médicaments agissent sur les mêmes récepteurs que benzos, et ne sont pas recommandés. L'alcool, la racine de valériane, le kava et devrait être évité aussi bien pour les mêmes raisons. Certains médecins prescrivent des antipsychotiques, cependant, ils n'aident pas lors d'un sevrage de benzo et peuvent aggraver les symptômes de sevrage pire.
 
Un spécialiste de la toxicomanie m'a dit un jour que personne ne pouvait devenir accro à Ativan (une benzodiazépine) à moins d'avoir pris ce médicament pendant plus de deux ans. C'est un mythe complet.
 
« Nous sommes rendus malades par les médecins, qui sont payés par l'état, mais nous sommes rejeté des avantages qu'ont les malades, »

LE SYNDROME PROLONGE DE SEVRAGE AUX BENZODIAZEPINES DOIT ËTRE RECONNU !

"j'ai effectué un sevrage trop rapide...je pensais que peut-être mes symptômes était dus aux sevrage des benzodiazépines, mais on m'a dit que ce n'était pas possible, car les symptômes de sevrage ne duraient que quelques semaines"

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Mensonges, foutaises, dénis pour vendre leurs poisons immondes et NEGATIONNSIME des médecins

Déni et négationnisme des médecins et laboratoires
Non, il n'y a pas de dépendance aux anti-dépresseurs.
 
Si vous hésitez à prendre un antidépresseur parce que vous craignez de devenir dépendant de ce médicament, soyez rassuré : les antidépresseurs ne sont pas considérés comme des médicaments qui causent une dépendance. Cependant, si vous cessez soudainement ou trop rapidement de prendre certains antidépresseurs, vous risquez de présenter un syndrome de sevrage causé par le retrait brusque du médicament
 
A condition que les personnes qui les consomment n'augmentent pas spontanément les doses de leur traitement, les antidépresseurs n'entraînent pas de dépendance physique, quelle que soit la durée de leur utilisation. Cependant, il peut exister une certaine dépendance psychologique due essentiellement à la fonction sécurisante des médicaments. Une réduction brutale de la posologie peut ainsi être à l'origine de symptômes physiques bénins : vertiges, nausées, sueurs. Ces effets ne se produisent pas si la posologie est réduite progressivement.
anxiolytique : on estime à 7 % la proportion de consommateurs que la prise régulière expose au risque de dépendance.
 
Cette dépendance peut être plus sévère que celle induite par des drogues dures telles que la cocaïne, l'héroïne ou les amphétamines.
 
Les antidépresseurs, lui dit-on avec insistance, ne provoquaient pas de dépendance et elle pouvait cesser de les prendre chaque fois qu'elle en avait envie. Mais quand elle a essayé, elle s'est retrouvée confrontée à un gant d'effets secondaires horribles, notamment une anxiété extrême et une terreur irrationnelle d'actes, d'objets et de lieux quotidiens. Parfois, elle sentait qu'elle pourrait devenir folle.
.
Ben Carey a récemment publié un article dans le New York Times sur la dépendance et le retrait des antidépresseurs. Ici Cela a conduit à plus de mille commentaires dans les 48 heures, y compris une série de commentaires prévisibles de médecins affirmant que les antidépresseurs ne causent pas de dépendance et que tout problème qu'ils causent est facilement gérable.
 
"Il ne s'agit en rien d'une contre-indication pour la prescription de ces traitements chez l'adolescent, la FDA soulignant avant tout que le risque de suicide est lié à la pathologie"
 
Le 4 juin 2015, la députée européenne Michèle Rivasi publiait un article particulièrement violent dans Le Monde, afin de demander le déremboursement des médicaments antidépresseurs. Mme Rivasi affirmait que les contribuables français ne devraient pas continuer à supporter financièrement ces médicaments extrêmement dangereux (responsables de tentatives de suicides chez des patients souffrant de dépression) et inefficaces.

Principes des addictions psychiatriques

11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement. Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. » La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]]. Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible

Les symptômes de sevrage sont identiques pour les benzodiazépines et pour les antidépresseurs
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 01:45
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 00:40
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 00:25
"Il ne doit pas être prescrit a de nouveaux utilisateurs et il devrait être interdit de vente. Il est défectueux et dangereux et il a détruit d'innombrables vies".

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 00:24

mortalité par iatrogénie médicamenteuse dans la population générale
Si les antidépresseurs arrivent en troisième position en Suède, les chiffres français doivent être astronomiques


En France, c’est motus et bouche cousue. Et on prescrit des antidépresseurs pour le moindre vague à l’âme… Ca va de l’insomnie passagère à l’anxiété, à la timidité, aux troubles prémenstruels, aux troubles paniques, aux problèmes sociaux et économiques, à la non adéquation aux standards de « normalité » dominants dans notre société, aux douleurs chroniques et aux soucis de santé non diagnostiqués, dont beaucoup de médecins français supposent trop vite qu’ils sont psychosomatiques et à traiter par des psychotropes sans autre forme d’écoute ou d’investigation.

médecins : assassins par antidepresseurs
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 00:23

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 00:22
Violence, homicides, agressions : effets secondaires de 31 médicaments tels que Champix, antidépresseurs, sédatifs / hypnotiques, Ritaline…

Un article paru le 15 décembre 2010 dans la revue en libre accès PLoS One (Public Library of Science) sous le titre « Prescription Drugs Champix violence Revolution Broadcasting.jpgAssociated with Reports of Violence Towards Others » (Médicaments d’ordonnance signalés pour leurs effets secondaires de violence envers autrui) rend compte d’une étude rétrospective des signalements à la pharmacovigilance des Etats-Unis (FDA : Food and Drug Administration) entre 2004 et 2009.

31 médicaments ont été mis en cause pour 1527 actes de violence : crimes, idéation meurtrière, violences sur les personnes, abus sexuel et autres actes de violence commis sur d’autres personnes.

Le médicament le plus incriminé pour de tels effets secondaires est le Champix (tartrate de varénicline), suivi de onze antidépresseurs, six sédatifs / hypnotiques et trois médicaments prescrits dans le TDAH (trouble déficit d’attention avec hyperactivité). Voir plus bas pour la liste.

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 00:21

Une émission de la télévison suisse :

 

http://www.rts.ch/video/emissions/temps-present/3840981-la-molecule-qui-rend-fou.html

 

A voir absolument !!

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 00:12

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remèdes mortels et crime organisé : LES MÉDICAMENTS D’ORDONNANCE SONT LA TROISIÈME CAUSE DE MORTALITÉ APRÈS LES MALADIES CARDIAQUES ET LES CANCERS.
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30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 12:12

Cause de mort inconnue / mort sous traitement / nouveau neuroleptiques : 200 000 morts

La vidéo du reportage « mort sous traitement » (sauvegarde)

Un nouveau rapport publié dans le British Medical Journal a constaté que les médicaments antipsychotiques dangereux sont responsables de la mort d'au moins 1.800 patients atteints de démence par an,
 
Dawson ne sait pas cela ? J’ai estimé que Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa et c’est seulement un des médicaments antipsychotiques
 
Si la fusillade de Newtown a relancé le débat sur les armes à feu, elle a aussi soulevé le problème des antipsychotiques. Le meurtrier, Adam Lanza, était sous Fanapt, un médicament controversé aux effets secondaires particulièrement lourds : agressivité, paranoïa, délire ou encore crises de panique....
En effet, le Fanapt, drogue acceptée par la Food and Drug administration (FDA) depuis 2009 était très controversée bien avant le drame de Sandy Hook. Au-delà des effets secondaires de type cardiaque, les effets indésirables signalés avec le médicament du jeune Adam étaient l’agitation et l’agressivité. Les accès maniaques ou de paranoïa avaient été rapportés ainsi que des désordres compulsifs, des impulsions incontrôlables et des dépressions profondes
 
Les neuroleptiques peuvent être une cause de violence en raison de la perturbation des neurotransmetteurs.  La violence doit être considérée non seulement comme une indication de la façon dont profondément la schizophrénie / troubles bipolaires peut s'aggraver, mais comme un effet indésirable du traitement neuroleptique. Les gens qui sont métaboliseurs inefficaces sont susceptibles de subir des effets indésirables plus graves et devenir violent ou agressif. (Les neuroleptiques sont métabolisés par les enzymes du CYP450 1A2 egCYP450, 2D6 et 2C19. Un seul neuroleptique peut nécessiter une combinaison des enzymes du CYP450 pour métabolisation.
 
Depuis lors, l’espérance de vie des personnes traitées dans la communauté des centres de santé mentale a plongé à un effroyable 25 ans inférieure à la moyenne. L’espérance de vie a chuté de pas moins de 15 ans depuis 1986. Les indications sont que le taux de mortalité continue de s’accélérer dans ce qui doit être classé comme l’un des pires désastres sanitaires dans l’histoire américaine.
 
Les neuroleptiques et la violence , par Catherine Clarke SRN, SCM, MSSCH, MBChA. and Jan Evans MCSP. et Jan Evans PMCC. Grad Dip Phys. Phys Dip Grad. (2012) (2012)
 
"Ex membre de la FDA Dr David Graham, qui a sonné l'alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées".
 
les patients à qui l’on a prescrit les nouveaux antipsychotiques sont en train de mourir à cause de la drogue d’insuffisance cardiaque, accident vasculaire cérébral, et d’autres maladies physiques chroniques invalidantes, telles que le diabète.
 
Une forte consommation de neuroleptiques de première génération multiplie par 1,99 le risque de mort subite et ceux de seconde génération par 2,26. Et le risque est d’autant plus élevé que la posologie est élevée. Mais cette influence des neuroleptiques s’efface à l’arrêt du traitement.
 
Les taux de suicide à vie dans la schizophrénie traitée: 1875-1924 et 1994-1998 cohortes par rapport , par D. Healy, M. Harris, R. Tranter, P. éviscération, R. Austin, G. Jones-Edwards et Roberts AP, British Journal de psychiatrie, (2006), 188, 223 -228.
Cette étude a révélé une augmentation de 20 fois du taux de suicide chez les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie depuis l'introduction des neuroleptiques.  Cette étude documente la façon dont le taux de suicide est passé de un demi de un pour cent avant l'avènement des neuroleptiques (et la désinstitutionnalisation) à quatre pour cent de l'ère moderne où les neuroleptiques sont le traitement standard.
 
“Le Dr David Healy, psychopharmacologiste, expert internationalement reconnu, a fait remarquer que le taux de suicide, de mort et de tentatives de suicide liées au Zyprexa ayant eu lieu pendant les essais cliniques de pré-commercialisation a été “le plus élevé que tout autres médicaments psychotropes dans l’histoire”
 
Dix-sept enfants canadiens sont morts alors qu’ils prenaient certains médicaments antipsychotiques de deuxième génération, et 73 autres ont eu des problèmes cardiométaboliques. Santé Canada confirme ces chiffres, mais ne fait aucune recommandation particulière, si ce n’est de rappeler aux médecins d’utiliser leur bon jugement.
Six médicaments de deuxième génération sont en cause: clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine, aripiprazole et paliperidone. Du nombre, seul Abilify (aripiprazole) est approuvé chez les jeunes de moins de 18 ans pour le traitement de la schizophrénie ou du trouble bipolaire
 
Neuroleptiques: Traitement ou torture ?
Lorsque médecins psychiatres dans les démocraties occidentales utilisent des neuroleptiques sur leurs propres patients, ils prétendent qu'il s'agit d'un traitement relativement sûr, nécessaire et efficace. Toutefois, lorsque les mêmes traditionnels professionnels de la psychiatrie observée psychiatres soviétiques en utilisant les mêmes médicaments sur les personnes atteintes de schizophrénie au cours des dernières décennies de l'ère communiste, ils ont proclamé haut et fort que les médicaments étaient utilisés comme une forme de punition et de la torture. Ce fut malgré les preuves que les psychiatres soviétiques abordé le concept de maladie mentale de façon presque identiques à ceux des psychiatres occidentaux.
 
Les neuroleptiques tuent quelques 62000 personnes par an
“Ex membre de la FDA Dr David Graham, qui a sonné l’alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées”.
 
Neuroleptiques → Perturbation de l'équilibre dopamine acétylcholine  → augmentation de l'acétylcholine relative → Agression / violence.
 
mon pére est décédé a l'age de 83 ans il ya 18 mois a l'hopital . il a été hospitalisé aux urgences pour des problémes cardiaques, c'était la premiére fois de sa vie qu'il était hospitalisé, il était trés anxieux de se retrouver la. les 2 premiers jours ils ont stabilisés ses problemes cardiaques et n'était plus en danger, par contre les infirmiéres se pleignait de lui la nuit car il était un peu agité , il voulait rentrer chez lui prés de ma mére.au 2éme jour le docteur était confiant et nous a affirmer qu'il serait transferer sur place en gériatrie le lendemain, mon pére nous a parler prés de deux heures avec lucidité, il nous a paru en forme. le lendemain je recois un appel de l'hopital, on me dit que mon pére allait etre transferer immédiatement dans un autre hopital a 30km et que c'était une personne vraimment trés agée. a ce momment étant a proximité j'accours a son chevet avant son transfert , il était attaché a son lit et il avait une perfusion de LARGACTIL, une infirmiére qui avait une larme a l'oeil est venu le détaché,toute ma famille est accouru on a constaté avant son transfert qu'il avait la langue retourné en arriére, le visage paralysé et de grosse difficulté a parlé, et des mouvements anormaux. il est décédé 8 jours plus tard dans ce méme état, et on ne nous a jamais dit pourquoi on lui avait administré un neuroleptique et apparemment a forte dose. pensez vous qu'il est normal de donner ce genre de traitement a une personne agée anxieuse qui soit était un peu agité mais qui n'avait aucun antécédent psychatrique?
 
ELLE AVAIT 21 ANS , 16 février 2010 ma fille a accepte d’être hospitalisée pour se soigner d’une dépression sévère majeure. Au bout d’un mois et demi après s’être vue "gavée" de différents anti dépresseurs, anxyolitiques , régulateurs d’humeur , somnifères mais sans psychothérapie (le psy dit qu’elle n’est pas là pour ça et qu’elle la fera en sortant) elle va mieux (randonnées sportives avec sa mère lors de ses sorties thérapeutiques, projets de reprise des études) mais a de grosses crises d’angoisse, le psy de la clinique lui donne du risperdal en comprimé puis en injectable retard en prévision de sa sortie. Dès la 1ère injection ma fille se ferme, elle ne parle presque plus, a du mal à marcher et garder son équilibre, a des bouffées d’angoisse, pleure. La famille prévient le psy qui répond qu’il est en phase d’expérimentation pour le dosage des injections et que ma fille doit s’adapter au traitement et que ça ira mieux après la 2ème injection. A la 2ème injection ma fille ne parle plus, reste prostrée, marche difficilement, pleure sans cesse, a peur, est épuisée mais souffre d’akathisie (besoin irréfreiné de bouger, marcher, incapacité à stabiliser sa pensée)....Ma fille ne voulait pas prendre de médicaments, elle disait qu’elle avait peur de ne plus être elle même avec des antidépresseurs, elle a accepté cette hospitalisation sous la pression de toute la famille, pour la 1ère fois elle acceptait des MEDICAMENTS POUR SE SOIGNER et c’est CE QUI L’A TUEE
 
A l’exception possible de la chimiothérapie utilisée dans le traitement du cancer, il serait difficile d’identifier une classe de médicaments aussi toxiques que les antipsychotiques. Si l’on considère les effets des antagonistes de la dopamine sur le système nerveux central ou à l’extérieur, leur nocivité prouvée est une tragédie iatrogène trop souvent minimisé ou refusé. (page 214)

Neuroleptiques atypiques : 62 000 morts par an aux USA.

Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa

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Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.

« Tous les essais cliniques sur les neuroleptiques et les antidépresseurs, sont biaisés »

« Toutes les drogues psychiatriques, a long terme, provoquent des lésions cérébrales visibles sur un IRM »

« IL FAUT INTERDIRE LES NEUROLEPTIQUES «

Je soutiens STOP MED TORTURE / SMT

Torturées par leurs médecins, avec des médicaments, des millions de personnes, chaque année, en meurent, sont handicapées ou sont poussées au suicide par d'atroces souffrances. Témoignons, manifestons et disons : STOP A LA TORTURE AVEC DES MEDICAMENTS !!!

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